Himmler Rébu craint l’éclatement d’une révolte populaire pour contrer la violence des gangs et l’indifférence du gouvernement…

Himmler Rébu, Dirigeant du GREH

PORT-AU-PRINCE,  samedi 1e avril 2023– Himmler Rébu, dirigeant du Grand Rassemblement pour l’évolution d’Haïti (GREH), estime que le climat sécuritaire s’est dégradé dangereusement et que la violence criminelle des gangs a atteint, de manière insupportable, son apogée en Haïti ces derniers temps.

A part les exactions commises impunément par les gangs contre la population, Rébu s’inquiète notamment de l’indifférence des autorités face au à l’ampleur de plus en plus grave de l’insécurité dans le pays.

L’ancien officier supérieur de l’Armée déplore le comportement irresponsable du gouvernement en place dont les membres se contentent de jouir des privilèges attachés à leurs fonctions sans véritablement se soucier de la souffrance de la population.

Face à la persistance de la violence des gangs inouïe des gangs et l’inaction des plus hautes autorités du pays, Himmler Rebu prévient que la situation actuelle risque de déboucher inévitablement sur l’éclatement d’une révolte populaire qui viendra résoudre le problème.

L’ex-colonel des FAd’H souhaite que cette révolte populaire ne se déroule pas dans le désordre afin de limiter ses conséquences, soulignant que la solution à l’insécurité est plus politique que technique, compte tenu, dit-il, des moyens que nécessitera toute opération sur des quartiers surpeuplés et des bandes criminelles qui ont déjà étendu leurs tentacules un peu partout dans le pays.

Il dénonce la complicité dont jouissent les dirigeant haitiens auprès d’une frange de la communauté internationale et leur absence de volonté pour mettre fin aux activités gangs armés qui assiègent la capitale haïtienne depuis environ deux ans.

Alors que le pays est en proie a une vague de violence sans précèdent ces dernières années, le gouvernement en place qui est dans le spéciative, attend depuis plus de cinq mois une éventuelle intervention militaire étrangère pour, prétend-t-on, résoudre le problème de l’insécurité et la crise humanitaire liée à la réapparition du choléra.

PORT-AU-PRINCE,  samedi 1e avril 2023– Himmler Rébu, dirigeant du Grand Rassemblement pour l’évolution d’Haïti (GREH), estime que le climat sécuritaire s’est dégradé dangereusement et que la violence criminelle des gangs a atteint, de manière insupportable, son apogée en Haïti ces derniers temps.

A part les exactions commises impunément par les gangs contre la population, Rébu s’inquiète notamment de l’indifférence des autorités face au à l’ampleur de plus en plus grave de l’insécurité dans le pays.

L’ancien officier supérieur de l’Armée déplore le comportement irresponsable du gouvernement en place dont les membres se contentent de jouir des privilèges attachés à leurs fonctions sans véritablement se soucier de la souffrance de la population.

Face à la persistance de la violence des gangs inouïe des gangs et l’inaction des plus hautes autorités du pays, Himmler Rebu prévient que la situation actuelle risque de déboucher inévitablement sur l’éclatement d’une révolte populaire qui viendra résoudre le problème.

L’ex-colonel des FAd’H souhaite que cette révolte populaire ne se déroule pas dans le désordre afin de limiter ses conséquences, soulignant que la solution à l’insécurité est plus politique que technique, compte tenu, dit-il, des moyens que nécessitera toute opération sur des quartiers surpeuplés et des bandes criminelles qui ont déjà étendu leurs tentacules un peu partout dans le pays.

Il dénonce la complicité dont jouissent les dirigeant haitiens auprès d’une frange de la communauté internationale et leur absence de volonté pour mettre fin aux activités gangs armés qui assiègent la capitale haïtienne depuis environ deux ans.

Alors que le pays est en proie a une vague de violence sans précèdent ces dernières années, le gouvernement en place qui est dans le spéciative, attend depuis plus de cinq mois une éventuelle intervention militaire étrangère pour, prétend-t-on, résoudre le problème de l’insécurité et la crise humanitaire liée à la réapparition du choléra.